
La parenté entre esséniens et chrétiens, est flagrante, mais n’est certes pas la seule, et l’on ne peut dénier au christianisme une personnalité propre.
Dans l’ensemble, cet article est intéressant.
Mais ce paragraphe me semble discutable :
« Non, la femme qui a ses règles n’est pas impure. Non, les maladies ne sont pas des châtiments que Dieu inflige à l’homme pour le punir de ses péchés. Non, on ne lapide pas la femme adultère. Le sabbat est fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat »
Il doit être mis en regard de « la Loi ne changera pas d’un iota ».
Le judaïsme ne disait plus que « les maladies sont des châtiments ». Preuve évidente : le livre de Job.
Jésus n’interdit pas de lapider les femmes adultères.
Quand à la notion d’« impureté », elle doit être prise dans le contexte, et n’a pas de lien avec la connotation actuelle. Le judaïsme est un culte de la vie, et est « impur » la mort, et tout ce qui l’évoque, et la « non vie » et tout ce qui l’évoque.
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