Claude Courty Claudec 6 août 2015 18:03

Qu’est-ce qui compte ? le fait qu’une cité (grande ou petite) ait été rayée de la carte ? Le nombre de victimes d’un seul bombardement ? Ou d’une seule bombe ? ...

Parce que Dresde, Hambourg, Naples ... c’était pas mal non plus. Quant aux localités plus petites qui ont été effacées du paysage, il n’est même pas possible de les compter, quels qu’aient été les lâcheurs de bombes et le niveau de perfectionnement de celles-ci (pour ne parler que de nos exploits guerriers les plus récents).
Quant aux suites, l’homme est un rénovateur que rien ne décourage. Et les pires gaz, émanations radiations, etc. une fable ! Il n’y a qu’à voir, quelques décennies après n’importe quelle de ces villes martyres, y compris Hiroshima.
Alors cessons ces célébrations aussi inutiles que hypocrites. Pensons plutôt aux records qui ne manqueront pas d’être battus tôt ou tard, quand seront atteintes (et éteintes) des populations urbaines autrement plus importantes.

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