Depositaire 25 novembre 2015 14:35

Étant donné que le VIH,n selon d’éminents virologues et spécialistes en imagerie de microscope électronique, et que même le professeur Montagnier a reconnu que ce qu’il avait pris pour un virus n’était que des débris de cellule, étant donné, donc, que ce trop fameux VIH n’existe pas, il s’ensuit que cette soi-disant protection n’est que de la poudre aux yeux.

Il ne s’agit pas de dire que le sida n’existe pas, mais comme le nom l’indique, c’est un syndrome dont les causes sont diverses.

On se souvient du fameux scandale du sang contaminé qui, en réalité, n’existait pas non plus. Les enfants hémophiles avaient été déclarés séropositifs , test qui détermine cette soi-disant infection par un certain type de leucocytes plus ou moins présents dans le sang, mais cette « séropositivité » était normale puisque du fait de leur hémophilie, ces enfants recevaient régulièrement des transfusions de sang, ce qui malmène quelque peu le système immunitaire. Mais comme on était en pleine hystérie du sida, on a fait prendre à ces enfants le trop fameux « médicament » antiviral connu sous le nom d’AZT. Or ce produit à une fonction simple : il bloque la réplication cellulaire. mais, bien sur, il n’est pas sélectif ; il bloque n’importe quelle réplication cellulaire.

Comme il n’y avait aucune contamination virale pour la simple raison que le virus n’existe pas, c’est la réplication cellulaire de leur organisme qui a été bloquée. Et plus leur état s’aggravait et plus on augmentait les doses. Résultat, les enfants ont commencé à mourir les uns après les autres ! Mais comme il ne fallait surtout pas remettre en cause l’industrie pharmaceutique, on a prétendu que le médicament n’était pas assez efficace, (il ne l’était que trop bien, mais pas dans le sens voulu), et comme par « miracle » on a trouvé LE remède qui, si on ne guérissait pas, au moins donnait une espérance de vie supérieure aux « malades » : les trithérapies.

Et je suis bien placé pour savoir de quoi je parle, car une jeune fille de mes amies est morte suite à cette prise d’AZT. Elle était en très bonne santé mais elle s’est fait opérée de l’appendicite, ce qui ne nécessite absolument pas de transfusion sanguine, en passant, et au sortir de l’hôpital alors qu’elle était encore un peu faible, elle a fait un examen de séropositivité qui s’est avéré positif.

Outre que l’on sait qu’il y a de nombreuses divergences quant à la validité de ces tests selon les pays, son médecin au lieu de faire faire un contre examen, l’a mise immédiatement sous AZT et plus son état s’aggravait plus les doses augmentaient. Sa sœur m’a raconté son calvaire. Elle est morte, le corps complètement desséché, comme si ces cellules ne se renouvelaient pas. C’est curieux, car c’est très exactement ce que fait ce soi-disant médicament !

Si scandale il y a, c’est bien celui-là. On sait depuis longtemps combien les compagnies multinationales pharmaceutiques se préoccupent fort peu de la santé des populations mais surtout du rendement de leurs médicaments. Combien de scandales avons-nous entendu parlé, comme le célèbre « médiator » il n’y a pas si longtemps.

Donc toute cette salade sur le VIH mystérieux virus invisible qui provoquerait le sid ,n’est qu’une invention qui rapporte énormément d’argent aux big pharma. On comprend bien qu’il ne saurait être question de « tuer la poule aux œufs d’or ».

L’origine du sida remonte aux homosexuels américains qui lors de soirées « hard » pour pouvoir avoir des orgasmes multiples prenaient une drogue connue sous le nom populaire de « popper » qui est une sorte de produit qui est respiré et qui a pour propriété d’agir un peu comme le viagra aujourd’hui, mais dont l’effet secondaire est de détruire le système immunitaire. Et ces hommes ont commencé à mourir d’une maladie mystérieuse due à l’effondrement de leur système immunitaire. Du reste, en soi, le sida ne tue pas, mais en provoquant l’effondrement du système immunitaire, la moindre bactérie peut être mortelle.

Bien sur, les multinationales du big pharma ont très vite saisi le filon et en mettant nombre de médecins, de politiciens et de médias dans la poche elles ont orchestré cette soi-disant épidémie.

Encore une fois, les cause peuvent être multiples : stress intense joint à une mauvaise nutrition drogue, etc.

En tout cas, il y a là un scandale tellement énorme que s’il était dévoilé des gouvernements entiers tomberaient. Et encore une fois, je ne tombe dans des théories fumeuses du complot, ce sont de spécialistes en virologie et imagerie électronique, indépendants, qui le disent. Et on remarque que tous ceux qui disent le contraire ont des conflits d’intérêts avec les compagnies pharma. Donc, ce nouveau médicament est encore une autre arnaque pour exploiter le filon déjà bien exploité. Et au mieux, le gouvernement se fait avoir et tromper, au pire, il est complice.


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