JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2016 21:13

Reprenons sur votre temps newtonien, et choisissons une expérience d’optique telle que celles réalisées à l’Institut d’Optique d’Orsay. Vingt mètres entre émetteur et absorbeur, soit un décalage dans le référentiel du labo de 66,7 ns (nanosecondes). Or si l’on fait confiance à la transformation de Lorentz, ce départ et cette arrivée sont simultanées pour le photon, quoique de durée non nulle, de l’ordre la nanoseconde pour chacun. En conséquence, voilà une faille et incohérence de 66,7 ns dans le temps newtonien du labo, et il y en a plein de ce genre pour chaque photon émis d’où que ce soit vers où que ce soit, ce qui fait vraiment beaucoup. Et les choses deviennent dramatiques pour des distances astronomiques, avec des court-circuits photoniques approchant les quatorze milliards d’années.


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