« Malheureusement, en Grèce, l’élection de Syriza n’a absolument pas apporté le changement que semblait vouloir les électeurs, sans doute parce que les électeurs préféraient eux-aussi une tutelle barbare plutôt que retrouver son indépendance. »
J’ai une analyse opposée. C’est parce que Syriza a préféré la tutelle européenne et a cédé sur tout qu’il n’a pas apporté de changement. Mettre le peuple responsable de ce fait me semble fournir une contre vérité. Lorsque le peuple a pu s’exprimer, il n’a pas manifesté un grand désir de conservatisme.