Il est regrettable que l’auteur se fourvoie avec ce genre d’anathèmes et de considérations morales - et se refuse donc à toute démarche critique intelligente - dès qu’il s’agit d’aborder des questions aussi fondamentales pour l’avenir des peuples que la substitution migratoire, le conflit des cultures et des civilisations et de la non-compatibilité entre elles, et de l’utilisation cynique par l’oligarchie mondialiste de ces flux comme d’un instrument de destruction des résistances nationales.

Remarquons à ce sujet qu’il reprend à son compte les mêmes présupposés, termes et grilles de lecture opérés par les médias mainstream, soit les vecteurs de propagande d’une ploutocratie qu’il prétend dénoncer par ailleurs. Le paradoxe est total.