ddacoudre ddacoudre 8 décembre 2016 13:30

bonjour méchant réac.
ce serait bien que tu nous définisses ce que tu appelles le principe de réalité.
ceci dit ton sujet est passionnant. celui qui cherche la vérité il vaut mieux qu’ils se suicide.
le langage est bien pratique pour communiquer, mais il n’est pas suffisant en lui même car il est castrateur de la singularité des individus. nous ne pouvons réduire l’existence au seul langage comme au seule mathématique nous nous tromperons toujours sur la finalité qu’ils désignent. chacun restent essentiels pour qualifier et quantifier le monde, mais le monde n’est ni notre langage ni nos mathématiques et nous devons faire avec. tu définis des niveau de mensonges, il existe déjà une appréciation du mensonge politique qui concerne l’information délivrée le niveau blanc, le discours omet des points d’informations précis, le rouge dans le discours l’on glisse des mensonges, le noir le discours n’est fait que de mensonge. pour les information que se délivrent les individus l’on parle généralement du mensonge social. ce mensonge là est essentiel à nos existences et n’entame pas la confiance réciproque, l’on dit de lui qu’il est l’huilage de la sociabilité.je donne souvent l’exemple d’un bébé moche que promène sa maman un tiers dit de lui en le regardant quel bel enfant vous avez, et tout deux s’accommode parfaitement de ce mensonge. les hommes politiques savent tout cela, généralement ce sont plutôt les citoyens qui en sont ignorants même s’il le pratique. nous ne disposons que d’informations partielles et nous pensons qu’elles sont exactes, et nous les délivrons comme telle, ce que je fais en écrivant. si non je ne pourrais pas vivre très longtemps dans le mensonge si je n’y croyais pas, c’est le cas pour les hommes politiques ils y croient, mais ne tiennent qu’un point de vue partiel puisque nous ne pouvons disposer et ne disposerons jamais de toutes les informations.
souvent le mots leurre serait plus approprié que le mot mensonge, car il poursuit une finalité qui est bien de tromper dans son intérêt, tel le papillon qui se promène avec de grand yeux sur les ailes pour faire croire qu’il est énorme. quand l’on érige cela en pratiques politiques ou économiques ne pas le savoir induit de mauvais jugement.
c’est la différence entre celui qui dit qui va résorber le chômage et Cahusac qui dit je n’ai pas de compte caché.
 cordialement.http://ddacoudre.over-blog.com/2016/12/hollande-fillon-les-couillons-de-l-histoire.html.


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