Les djihadistes ne trahissent pas le coran, ils en font une lecture littérale et ils en suivent les préceptes au plus près.
Tocqueville, qui n’avait rien d’un extrémiste, avait constaté les appels incessants à la violence contenus dans le livre saint des musulmans :
« La doctrine selon laquelle le premier de tous les devoirs religieux
est d’obéir aveuglement au Prophète et que la guerre sainte est la
première de toutes les bonnes œuvres se retrouve à chaque page et
presque à chaque mot du Coran. Les tendances violentes du
Coran frappent tellement les yeux que je ne conçois pas qu’elles
échappent à un homme de bon sens. »
En plus, le coran est reconnu par les musulmans comme la parole directe d’Allah, il ne peut donc pas être remis en cause.
Le problème du djihadisme ne vient pas de quelques extrémistes isolés qu’il suffirait de ramener dans le droit chemin, il est dans la nature même de l’islam.