VICTOR Ayoli VICTOR Ayoli 26 avril 2017 22:25

Macron n’est pas ma tasse de thé (pardon, mon ballon de rouge). Ce n’est qu’un avatar de Hollande, de Sarko, de Merkel, de Junker, c’est-à-dire une marionnette ultralibérale. C’est aussi chiant qu’une chaude-pisse. Mais ça se soigne.

Mais La Pen, c’est l’héritière directe de la France pétainiste lâche, veule, soumise, aussi pourrie qu’indigne. C’est l’héritière de la milice qui envoyait les Résistants déguster une infusion de plomb, des collabos qui s’engraissaient sur le dos les « sans-dents » de l’époque. C’est l’héritière de l’OAS qui balançait de bombes dans les bistrots, ratonnait le « bronzé », mitraillait De Gaulle et autres joyeusetés. La Pen à l’Élysée c’est ta porte, ma porte qui risque d’être enfoncée par quelques tronches rasées mono-neuronées. Etc. Et là, pour reprendre ma comparaison pathologique, c’est le sida, et c’est mortel. La menace n’est pas du même calibre. .

Je persiste et signe : s’abstenir ou voter blanc, c’est voter Le Pen, même indirectement, donc hypocritement. Mettre un bulletin Macron - même en se bouchant le tarbouif - a pour effet d’en enlever un à La Pen. C’est de l’arithmétique de CM2.


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