Bonsoir, Jean-Luc Hodemon
Le parquet de Brest a déclaré qu’il n’y avait pas matière engager d’action judiciaire.
Il n’empêche qu’il subsiste une faute morale qui, à mon avis, devrait inciter Ferrand à démissionner : on ne peut s’ériger en censeur des mœurs dévoyées sans s’appliquer les règles à soi-même à titre d’exemple.
Cela dit, rien à voir avec Fillon dont les malversations ont été d’une toute autre ampleur et ont de surcroît principalement été commises sous la forme de détournements de fonds publics. Fillon s’est manifestement conduit en escroc là où Ferrand à usé de ficelles malodorantes mais légales. Dans ces conditions, mettre les deux hommes sur le même plan est pour le moins choquant !