Leur livre, « Médecines douces : info ou intox ? » (éd. Cassini), compte
400 pages qui renvoient aux documents leur permettant de tirer ce bilan
général : « Sur la base des meilleures preuves disponibles, nous
pouvons dire que la plupart des formes de médecines alternatives ne
procurent, pour la plupart des maladies ou affections, aucun bénéfice
thérapeutique [nous soulignons, ndlr] prouvé ou bien apparaissent de
façon démontrable comme inefficaces ; de plus, un certain nombre de
thérapies alternatives peuvent présenter des risques pour les
patients », [par exemple, en raison de leur « hostilité aux
vaccinations »].