@moderatus

On ose parler de réinsertion de ces terroristes, dans la police ? dans l’armée ? où on signale déjà des cas de radicalisation.

On marche vraiment sur la tête.

Vous vous trompez ou il y a un abus de langage, un amalgame, car vu de France ils ne sauraient être qualifiés de terroristes, (rien ne prédit d’ailleurs qu’ils le deviendraient ici) puisque français ils n’ont commis aucun acte terroriste sur le sol français. Ils devraient donc être vus comme des combattants, ou des mercenaires... indépendamment des causes pour lesquelles ils combattaient, que personne n’est tenu de partager.

Les seuls États qui puissent les qualifier vraiment de terroristes sont la Syrie, et l’Irak, car ils ont commis des actes terroristes.

Sinon je comprends très bien le sens de votre article, et votre inquiétude certainement partagée par beaucoup de monde.

Je déplore surtout dans cette médiatisation le silence assourdissant sur le rôle extrêmement toxique de la politique étrangère française dans cette histoire. Le pari de faire tomber Bachar al-Assad pour servir des intérêts obscurs ... aux antipodes des valeurs de la France, ou de l’idée que l’on pouvait s’en faire. La France ne risque pas de sortir grandie de ces opérations de barbouzes atlanto-sionistes qu’elle a soutenues par djihadistes interposés.

Quitte à ne pas passer pour un patriote, je ne me gênerais pas à continuer de critiquer le politique menée par nos gouvernements durant cette dernière décennie.