Michel Leclerc Michel Leclerc 21 janvier 2018 06:32

rerereBonjour @Ouam en effet
Le principe du Général de Gaulle sur la question du financement de notre protection sociale est indépendant de la question fiscale sur les sociétés.
Dans cette question de justice entre les peuples, il faut comprendre que fiscaliser ici un travailleur et ne pas le fiscaliser là, c’est leur faire porter des charges différentes. Là me semble être une véritable incongruité.
Je préfère encore que ceux qui peuvent consommer puissent payer et que ceux qui ne peuvent pas ne payent qu’en fonction de leurs capacités.
C’est le même principe dans un mariage.
Il faut sauver en tout cas le soldat « Sécurité sociale », sinon nous cassons le lien social de notre Nation. Pour ce qui est des paradis fiscaux, la question est de savoir si ce sont les entreprises qui dirigent les Nations ou les Nations dirigent les entreprises. L’intérêt collectif du peuple doit passer devant les intérêts privés. A défaut, nous assisterons à une remise en cause de la démocratie.
Vous comprenez donc qu’il ne peut y avoir d’échappatoire à la fiscalité. Vous comprendrez également pourquoi - pour mon frère - il était impensable de bâtir des sociétés anonymes. La responsabilité, personnelle et familiale, est un élément majeur de respect pour les engagements auquel chacun à droit.
Il est vrai également que remettre en cause aujourd’hui cette notion serait un signal au monde différemment apprécié que l’on soit société ou particulier.
C’est pourquoi il me semble pour le moment plus important de faire en sorte que la population dans le besoin puisse déjà se nourrir dans notre pays.
Il faudra également réembaucher pour faire respecter le payement de ladite fiscalité.
Ce n’est pas un problème en soi, le plan le prévoit : http://www.tva-sociale.fr/michel-leclerc-evoque-effectifs-de-fonctionnaires/


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