popov 12 avril 2018 14:12

Les Birmans sont en première loge pour observer ce qu’il se passe dans les pays où une partie de la population a été radicalisée par les bons soins de l’Arabie Saoudite : Afghanistan, Pakistan, Bangladesh, Thaïlande, Philippines, Indonésie.

 
Ils ne veulent tout simplement pas que leur peuple soit exposé aux ignominies que fait subir l’islam au non croyants partout où il peut le faire impunément. 
 
Au lieu de dépenser des millions pour radicaliser les Rohingyas au moyen de ses madrassas, l’Arabie Saoudite ferait mieux d’utiliser cet argent pour financer leur réinstallation dans leur pays, le Bangladesh. Malheureusement, le Bangladesh n’en veut pas, la Malaisie et l’Indonésie non plus. Ils ont la réputation de fauteurs de troubles. Ce n’est pas la faute du gouvernement birman.
 
Le gouvernement birman, en expulsant ces illégaux, ne fait que son devoir. C’est le seul moyen de déjouer les sinistres machinations de la CIA et de ses alliés barbus. Ce serait mieux s’ils pouvaient le faire en douceur, mais ils n’en n’ont pas les moyens.
 
Alors, au lieu de parler de retirer son prix Nobel à ASSK, il serait plus juste de lui en donner un second : elle protège son peuple contre la barbarie wahhabite.

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