A la disposition en question (qu’un ministre et en tous cas un prêtre doit avoir une femme et des enfants) l’une des très rares mentions faites concernant la constitution de l’Église j’oubliais d’en mentionner une seconde, peut-être parce qu’elle me paraissait trop évidente, qui interdit bien sûr le ministère aux prosélytes.
Je crois avoir
noté qu’il était question de « piège du Diable », une notion dont il m’a
semblé qu’on pourrait la traduire assez bien par l’expression d’argot
contemporain « se faire griller », autrement dit, voir sa réputation
salie, mais je n’ai pas bien compris si cela devait s’entendre par
« malgré vous », ou « par votre faute ». Mais « mon petit doigt » m’a
dit que c’était plus subtil — par exemple, justement à trop
vouloir bien faire, vous en seriez arrivé à irriter un homme qui,
certes jaloux, se sera conduit lui-même, sans trop y penser, à en
énerver un autre, etc. de sorte qu’on ne sait plus dire qui est
responsable, à part que votre crédit aura de fait plongé.
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe