sasapame sasapame 11 décembre 2018 09:07

COURAGE, BANDE DE JAUNES

QUIZZZZZ du jour : saurais-tu deviner à qui j’ai adressé ce message il y a environ de cela trois cliques ?


***

Bonjour chez Vous, camarades citoyens,

c’est un texte plutôt long que je vous soumets ici, mais que je vous conjure de présenter sans trop tarder, étant donné les circonstances, à vos instances et procédures de décision — partant, vous en ferez bon usage :

https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/senechal-nous-voila-210457#forum5377517

Pour prendre les devants, quoi de mieux que de déballer un peu ma conception de ce qu’on appelle par chez vous, je crois, la praxis ? D’abord, en un mot, il me faut bien constater que je fais tout par moi-même et avec bon cœur... Quant à la technique, dans ces conditions, effectivement « l’intendance suivra » comme disait l’autre...

Long, certes, ce texte : il me faut bien constater qu’il représente presque une synthèse de mon travail depuis 2004. « Urgent » : vous en jugerez avec vos lunettes. Je suis quelqu’un qui travaille dans le temps long, « très long », pour ne pas dire dans un espace-temps dont j’ose dire qu’il pourrait faire baver « d’envie » qui aspire au socialisme... mais qui, pauvre fou, se l’interdit lui-même !

Quelques gages, pour notre gestion de crise. Je viens de le soumettre aux instances dirigeantes du Pardem / M’PEP dont j’ai été membre (Conseil national, affaires européennes et monétaires) plusieurs années, tendance « souverainiste » (pour situer, je me réfèrerais plutôt à Michèle Dessenne), ainsi qu’à Étienne Chouard dont je fut l’un des plus proches collaborateurs (et « ’ange gardien ») durant plus de temps encore (il ne le lira, comme toujours, que « trop tard », pour la même raison qui veut qu’il s’acharne à pousser au train les feignasses qui se rangent derrière son image, qu’il se farcisse en s’en défendant bien des groupies qui ne l’entendent pas et lui supplient d’être leur chef). A Michel Onfray, en passant, à l’appel de mon palpitant (un peu comme avec Simone Weill, disons, pensant prendre un cours de philo, je l’ai croisé la première fois dans le tableau qu’il m’offrait d’un atelier de confection de camembert). Vos réseaux, mais ça vous verrez... Peut-être directement Annie Lacroix-Riz. Envois déjà prévus : Jean Bricmont, mon petit préféré ma crème à moi ; Michel Colon, presque aussi bouffon ; Égalité et Réconciliation, ces salauds d’antisémites ; Solidarité et Progrès, vous savez, ces mangeurs d’enfants œuvrant pour le KGB. Parlant d’agents étrangers, j’envisage aussi, mais là ça se complique un peu, de sonner le professeur Minerva McGonagall de retour de chez Maïmmonide que j’ai eu avant-hier au téléphone. Pour les gaullistes, j’ai mes entrées, naturellement. J’ai enfin demandé dans l’urgence à un curé de mon choix quelques explications... Je donne des cours de confection de saucisson brioché avec amour. Ah, et sans nul doute, je trouverais bien un moyen de contacter mon paternel, le plus ridicule de tous, cela va sans dire. Quelques autres envois envisagés, mais j’attends voir.

- A court terme, l’objectif est de mettre à nu les râteaux gauchistes de l’empire qui ne tarderons pas, bien sûr, à détourner l’insurrection en œuvre. Spécifiquement, cela tombe bien, car je m’affaire depuis longtemps sur leur cas, le Phi - PG - agent Jean « Santerre » Saint Luc Mélenchon, etc. dont j’explose le faux-nez dans le cadre de la politique européenne (ce fut ma principale mission).

Le mot Sénéchal, dans le titre, (à part ce qu’on devine) c’est tout bêtement le patronyme d’un guignol néomanager de la pire engeance qui fut son ex-directeur de campagne présidentiel avant d’être animateur de sa stérile joint-venture électoraliste ’6e république de mon cul’. Phi, c’est pour pharisien je suppose.

Bref, je travaille mes dossiers, je ne fais pas semblant : j’y vais de bon cœur. J’adhère à un parti et je vais jusqu’à négocier, au sous-sol de la *** BIIIP ***, les conditions de ma présélection aux élections régionales, en me laissant comme porter, quelques temps après m’être juré de ne surtout jamais foutre le pied dans une machine à faire élire. Je démonte d’autant plus efficacement, même en urgence, un geste de propagande déboutonné sur le front du changement climatique (un oxymore et un pléonasme en trois mots, du très haut niveau) ou celui du Venezuela que je n’ai pas visité par hasard et dont j’ai du repartir si vite pour prendre part à l’organisation à Genève d’une manif contre l’OMC (que les Black-Blocks, comme je l’avais prévu et comme j’avais prévenu ces branques-là qui m’assuraient qu’il géraient, ont défoncée à coup de marteau). Bref : courage. Quant à mes fourneaux à moi, par ce lien vous accéderez à votre guise à mes divers ateliers, couvrant pas mal de matières, vous l’avez compris. Et si un jour on a besoin de moi, suffit de demander !

- S’agissant du moyen terme, en substance : dans toute la partie centrale, je mets à poil le beau discours de la marionnette Sénéchal ; je démonte sa « gauche », son système électif ; je plaide dans le même geste, suffisait d’y penser, sans aucune esbroufe là encore, en scientifique, pour le tirage au sort d’une Constituante (et du Sénat) parmi le corps des citoyens se portant volontaires, pas pour dans 3 ans, faut-il le dire ? Servez-vous, et allez-y de bon cœur, surtout.

Ils veulent de la révolution enchantée ? Y a qu’à se baisser. C’est con à dire, ouais.

- Pour la pédagogie, j’aborde aussi, plutôt comme un cas d’école, et je fous littéralement, pour le coup, à poil, un spécimen contemporain chopé par moi au hasard (ici Bernard Stiegler, mais la méthode importe au moins autant que son cas, bien sûr), un type qu’il est difficile de ne pas voir comme un *** expression censuré par votre fournisseur d’accès afin d’assurer votre protection *** : son CV Wikipedia est explosif... suffisait d’aller le lire, c’est con. Dans mes cuisines, vous croiserez quelques autres gens qui après m’avoir bien fait de lèche eux-mêmes,

ont été poussés pour la même raison à me censurer purement et simplement. En particulier : Raoul Marc Jennar, éternelle feignasse plus que touriste de parti (qui m’avait dérangé au téléphone pour venir l’aider à apprendre aux jeunes gens de la gauche les institutions, et me dire que son chef d’œuvre Europe - la trahison des élites répondait directos à une commande de Pierre Bourdieu : la classe) ; Olivier Berruyer et son super média âchement libre (qui a cru pouvoir effacer d’un
clic une semaine de mes temps libres, de mon travail de fond et de forme sur l’un des fronts du dossier climatique : les nuages ayant un effet parasol sont gouvernés par des agents extraterrestres n’ayant évidement rien de magique - là encore, entrée directe sur mon blog) ; et sur un autre front climatique, Sylvestre Huet, diplômé de lettres longtemps et encore récemment M. Sciences naturelles
chez Libération. Pendant que j’y suis, j’interviens un beau jour dans un cinoche à l’opéra de Lyon pour dire en face à cette raclure de moine soldat qu’est Pascal Lamy ce que j’ai à lui dire, savoir, bien sûr, que sa belle institution, suffisait là encore d’y penser, interdit de règlementer les échanges commerciaux au motif de les règlementer. Nul doute qu’il croit avoir assuré. Et avant que j’oublie, je me paie à ma façon le plus acharné des bâtisseurs onusiens, j’ai nommé Maurice Strong, que pour la même raison personne ne connait sinon les petits bras de l’avant-dernière génération d’un truc opérant via une fondation maison de la famille Rockefeller, ce truc qui vous dérobe à l’impôt (pas ce brillant David,
donc, dont personne ne lit les mémoires)).

Vous êtes bien évidemment autorisés à employer mes dessins et tout autre fruit de mon travail (sur mon blog), notamment ma fresque sur la sortie de l’euro et l’assommage des « marchés financiers » (qui ne sont bien évidemment pas des marchés - dans ce cas, je signe « samedi » ; quant à la fresque, il faut citer J. Nikonoff à qui je dois le scénario (hors l’humour, qui m’est « propre »).

J’y mets une seule condition : ce n’est pas du tout, bien au contraire, que je souhaite garder l’anonymat au sens où je voudrais me cacher (je ne vous interdis pas de faire une référence à ce lien que je vous apporte, d’ailleurs), mais je tiens plus qu’à ma propre vie à n’être jamais affublé d’aucune étiquette, et je récuse quiconque entendrait se planquer derrière la mienne, car mon expérience m’a définitivement convaincu que *** c’est précisément en en faisant une icône qu’on détruit le message qu’un homme aura souhaiter transmettre ***. Quitte à m’étiqueter moi-même : scientifique ; démocrate radical ; socialiste.

Merci à vous, à je ne sais quand, je plusse dans le bus, et bien sûr : courage, bande de jaunes ! ;)

Samuel SCHWEIKERT

***

Vive la France


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