popov 16 mars 2019 14:48

@Loatse

Bonjoiur

La marque est fautive. Personne ne voudrait avoir une grognasse niqabée dans son magasin, mais la marque n’a pas été capable de prendre les mesures préventives.
Il est interdit de discriminer à l’embauche sur des critères religieux. En principe, j’approuve. Mais en contre partie, l’employeur devrait être autorisé à stipuler dans le contrat que toute revendication de la part de l’employé et liée à sa religion sera une cause de licenciement immédiat.
Il s’agit évidemment d’un piège, probablement ourdi par les blaireaux du CCIF. En l’absence de directives claires de la part de la direction, la personne chargée du recrutement doit faire preuve d’une extrême prudence, car l’audition est probablement enregistrée et toute parole pouvant être jugée « raciste » sera présentée au tribunal comme une preuve de discrimination.
Il faut donc rester poli, poser les mêmes questions qu’aux autres candidates et terminer l’entretien en disant à la personne qu’elle sera recontactée si sa candidature a été retenue.
Si la candidate niqabée pose des questions pièges, comme par exemple « est-ce que l’entreprise est hostile au voile », il faut se limiter à se référer à la loi qui interdit ce genre de discrimination. Ne pas s’engager sur des terrains dangereux comme les « valeurs défendues par l’entreprise ».


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