…/… et il faut regretter que Maurice
Bellet, fort justement évoqué par l’auteur, n’ait pas lui-même, à la fin de sa
longue vie, précisé que, si c’est une erreur d’imaginer un Dieu pervers il faut bien constater que, sur ce point, la perversion de l’Église (et des autres
religions monothéistes) continue.