Les bébés Libyens ont, c’est sûr, beaucoup plus de chance que nos poupons nationaux.
Pas de dette, quel pied.
Bon ils n’ont pas non plus d’infrastructures, d ’écoles, de système de soin, de justice ou de police.
Mais ça c’est pas grave
...selon l’auteur. Toujours aussi pertinent.