A chaque fois que je lis un texte de l’auteur sur la beauté d’une chose, je pense immédiatement à la chanson de Souchon, ’L’amour à la machine".
Passées à la machine Rosemar, toute beauté, toute poésie disparaissent dans les égoûts de son analyse, lessivées, javellisées, rendus ternes et difformes.
Allez, à la machine ! Et tagada tsoin tsoin...