charly10 24 juin 2020 11:48

« Un rapide calcul amène ce constat : 40 millions de véhicules électriques, c’est 400 000 MWh, et comme un réacteur nucléaire produit 20 000 LWh/jour, il faudrait 20 réacteurs nucléaires supplémentaires pour couvrir les besoins des véhicules électriques ».

Exact et réflexion développée depuis longtemps. Le tout électrique ne sera pas la panacée.

En voulant mettre en avant la lutte contre le CO2 anthropique, on se trompe d’objectif, on se trompe de combat.

Dans la course au « C02 bashing », ne pas oublier que dès sa création, le GIEC favorisait et favorise toujours l’énergie nucléaire non productive de CO2, ce qui parait logique.

Et c’est bien le paradoxe de l’intelligentsia écologiste, lutter contre le réchauffement lié au CO2 anthropique, mais contrer le nucléaire, seule énergie pouvant satisfaire les futures demandes de puissance électrique, sans production de CO2.

Une mécanique implacable s’est mise en marche : l’origine anthropique du réchauffement acceptée comme une vérité scientifique, comme dogme, les décideurs politiques sommés de prendre dans l’urgence des mesures drastiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, une opinion résignée à la catastrophe inéluctable.

Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : les épisodes de canicule, une, inondation inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! Diantre, vivrions-nous les débuts de l’apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme. 

L’enjeu climatique oppose l’industrie pétrolière et l’industrie nucléaire. S’y ajoute le récent enjeu des énergies renouvelables et les affrontements entre multinationales sont impitoyables.


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