Très bonne analyse. Maintenant la question reste : comment réaliser un réseau de médecins sur toute la France prêts à soigner les malades dès les premiers signes. Or, malgré différents appels à rassembler des médecins sur cette ligne, je vois que dans mon département, les Hautes Alpes, on est toujours loin du compte, ce n’est pas évident de trouver un médecin qui propose des soins genre Ivermectine et la majorité semble en être restée au dolipranne cher aux ARS avec le vaccin présenté comme une panacée.