C’est tragique, ces femmes qui n’osent pas porter plainte tant qu’il est temps, mais qui pendant ce temps ne trouvent personne, parent(e), ami(e), médecin... à qui se confier et qui pourrait conseiller. Voire, aller lui-même ou elle-même porter plainte.
Ou bien elles trouvent, mais la personne qui reçoit la confidence n’en fait rien.