Bonjour Spartacus,
J’aime bien votre histoire et vos comparaisons de bon aloi.
Elles peuvent être appliquées à tout un chacun individuellement, mais socialement ?
Lorsque l’on est dans le dilemme du Samaritain, on est aimé par quelques-uns et haïs par d’autres. (Je le sais, je fais du bénévolat la plupart du temps).
C’est d’ailleurs cette « haine » qui transparaît dans une bonne partie des communautés de migrants...
Couper les aides, couper la solidarité, oui mais pas à tous. Là est le problème.
Qui va reconnaître ceux qui ont besoin d’aide et ceux qui profitent comme des lâches et nous détestent ?