Je pensais, ou du moins je croyais que le monde éducatif avait le plus fort taux de vacciné de la fonction publique et comme l’adage dit tous vaccinés tous protégés, j’ai un peu de mal à comprendre l’absentéisme supplémentaire pour cause de covid.

Il serait un fait établi d’après les sources officielles, que les « jeunes », allez nous allons dire la tranche des 6,5 millions des élèves du premier cycle soit des porteurs « sains ». Qui s’ils ne se contaminent pas en classe à cause du port du masque, échappent à tous contrôles en dehors de celles-ci et donc se contaminent tôt ou tard. C’est un fait connu que les enfants « choppent » principalement les maladies à l’école (pas forcément en classe, mais durant les heures consacrées incluant les transports, les « récrés », etc.....), et cela ne changera pas de suite.

Mais ils sont sans problème de santé réel, à part certains dont le cas est normalement connu par l’établissement au travers du régime des exemptions (assez souvent médicales) ou autres. (les 94 « enfants » hospitalisés par rapport au 6,5 millions d’élèves sont epsilon).

A mon sens, la fermeture d’une classe pour 1 ou 3 je ne sais plus d’élèves « contaminés » est un non sens et très stigmatisant pour les « contaminateurs »....qui pourrait former une génération de « cacheurs » ou « dissimulateurs ».

Il n’en reste pas moins, que l’enseignant devant sa classe de 25 bambins projetant en permanence sur lui autre chose que des regards admiratifs n’est théoriquement pas sujet à contamination fort de sa vaccination, de ses gestes barrières, etc.. etc.. 

Bon à la limite, le valeureux enseignant évoluerait dans un environnement toxique, créer par les exhalations putrides de ses élèves qu’ils soient masqués ou pas d’ailleurs. C’est un fait audible et qui peut se résoudre en partie par un système de ventilation efficace, qui hélas ne semble pas être le cas partout.

Toutefois, rappelons le, cet enseignant dument protégé ne risque rien il me semble, enfin du moins c’est ce que la pub gouvernementale ne cesse de nous dire..

« Le monde de l’enseignement fait appel aux Retraités ! »

La vache ! Vous n’y allez pas de main morte, dans le dramatisme avec cette similitude au rappel des réservistes en temps de guerre.

(La guerre d’aujourd’hui se résumant majoritairement à un alitement de quelques jours et pour certains à la perception d’une boîte en sapin, mais ils n’étaient largement plus en capacité d’enseigner quoi que ce soit, ni de faire autre chose d’ailleurs, certes c’est regrettable, mais les dures lois de la nature sont là et hélas inéluctables, malgré les progrès de la « science »).