Çà sent le poisson d’avril.
Ce qui
est drôle c’est que ce pourrait fort bien être un de ces délires
collectifs qui caractérisent la décadence déconstructrice et le
délabrement intellectuel contemporain occidental. Où le canular
fait office de réalité 365 jours par ans.
Par ailleurs même en dehors du 1er
avril, l’étude de la notation musicale est un thème d’investigation
passionnant.