Les protagonistes sont les mêmes qu’en 2017, mais pas la situation.
Depuis 2017, Macron a fait ses preuves, et elles ne sont pas à son crédit.
Toute la question est de savoir où vont aller les voix dont il n’a pas bénéficié au premier tour et qui n’appartiennent pas aux candidats qui en ont bénéficié : les consignes de votes ont autant et aussi peu de valeur que les injonctions publicitaires. les destinataires sont plus ou moins influençables et les motivations du choix final peuvent être irrationnelles. Le "ras-le-bol, par exemple.