« Ne rien
changer fondamentalement est leur seule ligne de conduite. »
C’est bien ce que disait
Giuseppe Tomasi di Lampedusa dans son roman « Il Gattopardo » (Le
Guépard) :
« Si nous voulons que
tout reste tel que c’est, il faut que tout change. Tu vois Bendico, toi, tu es
un peu comme les étoiles : d’un bonheur incompréhensible, incapable de produire
l’angoisse. Nous fûmes les Guépards, les Lions. Ceux qui nous remplaceront
seront les chacals et les hyènes... »