Bonjour à tous
« on s’est toujours on s’est toujours promis de ne jamais te laisser souffrir », écrit l’auteur en parlant de son animal familier.
Une attitude compassionnelle bien compréhensible.
Question : pourquoi une partie (il est vrai minoritaire) des Français s’oppose-t-elle à la libéralisation (strictement encadrée) du suicide assisté des personnes en état de grande souffrance atteintes d’une maladie incurable, et cela en déniant de fait cette compassion à un être humain ?