Tzecoatl Tzecoatl 12 juillet 2023 09:04

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En considérant que l’excès de BAO est source d’émission de bosons, expliquant une grande inflation au tout début de l’univers, par triangulation avec vibration du filament et du trou noir à proximité, nous suggérons qu’un tel événement contracte durement l’espace-temps, lui faisant perdre temporairement et localement beaucoup de son énergie. Nous suggérons qu’à destination, l’espace-temps est excessivement dilaté, puis désintégré en photons de haute énergie, Quoi qu’il en soit, nous pouvons corréler ces attentes avec l’équation μ(x)=x/(1+x) de la théorie Mond, où 1 est la courbure de l’espace-temps du trou noir galactique, Nous considérons les émissions de bosons de Higgs responsables de la contraction de l’espace-temps et les absorptions de bosons de dilatation de l’espace-temps. Cette perturbation de l’espace-temps implique également la désintégration en bosons disjoints, tels que c², et les bosons de Higgs courbent ou dilatent l’espace-temps au lieu de donner de la masse aux fermions, telle une symétrie de l’interprétation classique de Higgs. Nous pouvons ainsi entrevoir les prémisses de Fundamond (3).


Cependant, l’aplatissement du plan galactique est ostensiblement du fait que l’émission de bosons gravitationnels surgit lorsque les innombrables croisements entre ondes gravitationnelles provoque les gouttes d’espace-temps propre à sa nature quasi-liquide sans bordure. La nature sphérique de l’astre galactique est ainsi redondant à travers l’univers.

La pression négative du vide, à savoir p, notamment p+dp (dp tel le boson de Higgs) préserve ainsi le plan stellaire galactique de toute perturbation.


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