@Grincheux merci de ce complément d informations quoique dans les campagnes la cuisine et la gastronomie se confondaient .

Le dimanche ou l on mettait les « petits plats dans les grands » , un soin particulier à dresser la table et par exemple un vin de meilleur qualite ou un digestif , dont la la figure emblématique , les fruits muris dans l alcool , les griottes .

Chaque famille avait son livre de recettes , et surtout des plats et des couverts réservés aux grandes occasions .
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Les desserts sortaient aussi de l ordinaire , les poires au vin que l on retrouve dans le livre Bocuse la cuisine du marche . Un classique 

In fine des produits locaux notamment du potager et de saisons dont le supplément permettaient de faire des des conserves en verre stérélisée , En hiver une continute dans l alimentation 

J avais le privilège de consommer du pain cuit au feu de bois, et le pain rassis des miches faisaient du bon pain perdu . Ce fut simple mais qu elle bonheur .

Le boulanger cuisait de temps à autres des « galettes à la Bressanne » 

Il y avait donc une cuisine liée à la culture campagnarde .

Quoi qu il en soit je ne voyais peu d obèses et l allergie alimentaire etait inconnue .

Ce que l on peut constater aujourd hui c est que l est passé dans les extrémes , une cuisine extrement sophistiqué jusqu a la déviance de la cuisine moléculaire et la cuisine rapide fast food et industrielle ( aliments transformes ) qui a pour conséquence cette croissance de l obésité .