quijote 28 août 2023 11:15

Des réflexions qui me sont venues à la lecture :

 Karen Horney, je connais pas, mais dans mon souvenir, le désir de pouvoir comme matrice primaire du comportement humain, c’était d’abord Adler. Freud « tout est sexuel », Adler « tout est désir de pouvoir » et Jung « Freud et Adler n’ont pas tort mais il y a aussi d’autres choses ».

 Le classement 1, 2, 3 recouvre au moins en partie les notions de Moi ( je peux, je ne peux pas ), de Surmoi ( je dois, je ne dois pas ) et de Ça ( je veux, je ne veux pas ). Plus facile à retenir.

 Dans les sociétés humaines, la notion de pouvoir dépend et découle de l’idée et de la notion de loi naturelle puis de Bien. En Occident, de nos jours, le Bien, c’est la déclaration universelle des droits de l’homme. Droits de l’homme par lesquels, petit à petit, nous en sommes venus à une situation qui confine aujourd’hui à l’autodestruction. Thanatos aux commandes.

Thanatos, le désir de mort s’exprime actuellement par l’influence des lgbt ( à rapprocher curieusement du « tout est sexuel » de Freud, sur un mode incroyablement immature ), des woke et autres antifas ( cancel culture, à rapprocher du « tout est désir de pouvoir » de Adler + égalitarisme morbide ).

Et cela, chapeauté et manipulé depuis tout là-haut par des élites ( Schwab et son forum économique mondial, Guterres à l’organisation mondiale de la santé, la hyène à l’union europénne ) qui utilisent et manipulent cette notion de Bien pour étouffer celle de Vérité et ainsi arriver plus vite à leurs fins : arrêter de s’emmerder avec la piétaille et donc en finir au plus vite avec la démocratie. Au nom du Bien.


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