@chantecler
Sans compter « Spartacus ».
On se prend le péplum plein les mirettes, ce qui en fait le plaisir, mais il y a tout un enseignement derrière avec la métaphore de la Tour de Babel (une explication particulière autre que celle que raconte le catéchisme). On a envie d’arracher les dernières pages. C’était toute l’obsession de Koestler dans sa vie et ses aventures, comme dans son oeuvre et ses réflexions fertiles.