Hervé Hum Hervé Hum 9 novembre 2023 09:16

@Olivier Dusong (Oliver Starc)

votre PE/MR ne peut s’appliquer que si après la première moitié, il y a décélération de la seconde moitié restante sans cela, elle n’a aucun sens, c’est une aberration de votre cogito.

Car la distance qui sépare le point de départ du point de chute est fixe, elle n’est pas infini, or, votre PE/MR est le « parcours infini des moities restantes », je ne fais que respecter l’énoncé, quand vous, vous le violez.

Donc, il ne peut y avoir de parcours infini que de deux manières et pas une de plus. Soit la chute se poursuit de manière infini comme dans l’espace intersidéral ou comme une multiplication ou addition, soit par fractionnement de la distance fini, par division (pour la soustraction, on pourra continuer que dans les valeurs négatives). Et si je divise l’espace, alors, je dois aussi diviser le temps restant pour conserver le parcours infini, sans cela c’est impossible. 

Ensuite, la notion de petit ou grand est relatif au point de référence, disons comme vous l’écrivez le « mobile ». Autrement dit, physique et donc, observable, sans cela, parler de petit et grand n’a aucun sens car vous ne pouvez pas déterminer un ordre de grandeur c’est impossible et n’a aucun sens. Ici encore, ce que vous écrivez est une aberration du cogito, pas seulement le votre, mais d’une manière générale. 

De fait, en dessous de l’échelle de Planck, le dilemme ne vaut que par rapport à cette même échelle pour un mobile de cette échelle, mais si vous changez l’échelle du mobile, disons que vous crée un mobile ayant une taille de 1 milliardième de celle de Planck,alors, vous pouvez poursuivre votre parcours dans ce milieu avec une nouvelle échelle, mais cela n’a aucun sens par rapport à l’échelle de Planck qui est la notre et qui est le point limite inférieur à partir de laquelle notre Univers prend sens et évolue dans le domaine du physique (le domaine théorique et imaginaire étant autre). C’est encore une fois une aberration du cogito.

Une addition de points sans milieu, c’est un milieu où les points occupent tout le milieu, ils sont donc juxtaposé, contigu l’un à l’autre. Maintenant si vous me dites que ces points n’occupent pas un espace propre composant le milieu, alors, c’est qu’il n’y a ni point, ni milieu. Mais s’ils occupent un milieu propre, alors, ils occupent obligatoirement un espace-temps propre où se pose la question de sa taille et si elle est sans taille, alors, on revient à dire qu’il n’y a ni point, ni milieu. C’est tautologique !


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