Le corollaire de cette interdiction de remise en cause de la doxa dans le domaine du climat (mais pas que), ce sont les procès intentés contre les États pour inaction climatique. Un comble de perversion.
« à l’ontologie réaliste et objectiviste des Anciens qui pensaient que le législateur et le juge n’avaient qu’à restituer passivement, de façon indicative, ce que raconte la nature des choses dont serait issu le droit, s’oppose l’ontologie idéaliste et subjectiviste des modernes selon lesquels le droit, fruit de l’esprit, n’est que le produit intellectuel de la volonté humaine et se décline, dès lors, en termes
prescriptifs. » cf. là