Sirius Sirius 25 mai 15:19

C’est un peu comme la famille Kennedy : Joseph Patrick, le père de celui qui a été président de la république étasunienne était un escroc, chef de la mafia irlandaise, coureur de jupons notoire, qui, outre le trafic d’alcool pendant la prohibition, a fait fortune en achetant en masse un titre pour faire gonfler son cours pour le revendre avant l’éclatement de la bulle, une pratique en partie de la responsabilité du krach de 1929, le point de départ de la Grande Dépression, avant d’être nommé premier président de la Securities and Exchange Commission (SEC), le « gendarme » des marchés financiers, par Roosevelt qui a dit quand on lui a reproché d’avoir introduit un renard dans le poulailler : « Take one to catch one » (adoptez-en un pour en attraper un).

La suite fait partie de l’histoire avec un grand H : la méthode de Roosevelt n’a fait que s’accroitre et s’amplifier auw mains des héritiers d’un bandit de grands chemins dont l’un a été dézingué par une mafia concurrente dont le parrain a été lui aussi prédisent du même pays. Mais chuttt, il ne faut pas le dire.

Les corsaires et les pirates ne sont pas les seuls à montrer plusieurs facettes.


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