Christophe 26 mai 12:57

Une histoire commune sans culture commune est une hérésie, cela n’existe pas.

Avoir une identité européenne au même titre que l’identité nationale, bâtit après plusieurs millénaires d’histoire plus ou moins commune il faudra que l’Europe soit patiente pour obtenir son graal dans ... plusieurs siècles.

La difficulté que n’aborde pas l’étude c’est devons-nous continuer à étendre l’Europe ? Parce que les nouvelles nations à intégrer ne seront pas du tout dans le même registre identitaire ni historique.

Je me pose la question de l’intention de l’UE. Est-ce d’écrire (ou de ré-écrire) l’histoire. Comme l’a écrit Francis, agnotologue le vainqueur écrit l’histoire et elel est toujours écrite pour donner le bon rôle au vainqueur et elle se transforme au fur et à mesure du temps pour expliquer sans ambiguïté le présent du même vainqueur. Raison pour laquelle le colonialisme et même le néo-colonialisme (post WWII) n’apparaissent pas pas ou si peu ; l’occident ayant été historiquement le plus grand meurtrier de l’histoire depuis ces 50 dernières années. Comme tout bon politique, l’histoire peut se passer des instants politiques condamnables menés par celui qui l’écrit. Ce sont les mêmes qui ont reconnu l’Holodomor, une création des nationaliste ukrainiens de Pologne soutenus par leurs financeurs la CIA (Robert Conquest était membre de la CIA). Aujourd’hui les historiens qui ont exploités les archives à Moscou (Mark Tauger spécialiste de l’agriculture de l’URSS et de la Russie) remettent en cause ces théories du complot étatiques.


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