S’il y a une chose que je trouve bien triste, c’est de devoir constater que ce pauvre Bonaparte en était réduit, comme le montre son portrait ici en illustration, à devoir se contenter de bas qui plissent, tout de soie qu’ils fussent, et en dépit de son impérialitude qui ne connaissait pas la « contraption » perfide-albionnesque empêchant les chaussettes de tomber.

Comme quoi avant Arnault et LVMH il n’y avait pas vraiment de chic françouès. Et ce n’est pas la reine mère Brigeou (uniforme de Vuitton en dépit de son cou trop court) qui dira le contraire.

Pour notre ND, ce n’est que grâce à pépé Hugo, Misérables et autres comédies musicales et films qu’elle a gagné une telle image, elle-même n’étant guère conforme à l’original et un poil surfaite en néo-gothique. Le fait de l’avoir fait reprendre à l’identique ne lui apporte pas grand chose et ne fait que la vieillir mais il parait que ça marchera très fort avec les touristes japonais, ce qui reste le principal selon Ste Hidalgo.

Mais que voulez vous... ni l’art ni son histoire ne sont les points forts du comptable- banquier micron-monarque ni de sa chocolatière de reine.