L’Occident a tout misé sur une victoire ukrainienne qui n’a jamais existé. Depuis le début du conflit, les médias et les élites politiques ont vendu une illusion : celle d’une Russie affaiblie et d’une Ukraine résistant héroïquement. La réalité est tout autre. La ligne de front recule inexorablement pour Kiev, les forces ukrainiennes sont épuisées, et la mobilisation forcée s’apparente à un sacrifice désespéré. Les livraisons d’armes occidentales n’ont rien changé : la Russie détruit méthodiquement chaque convoi, tandis que les mercenaires étrangers fuient un champ de bataille devenu ingagnable.

Malgré cette défaite humiliante, Macron et ses alliés refusent de reculer. Plutôt que de négocier un cessez-le-feu, ils parlent d’envoyer des troupes de l’OTAN, une provocation insensée face à une Russie nucléaire. Cette obstination ne repose sur aucune rationalité militaire. Il ne s’agit plus de défendre l’Ukraine, mais de sauver la face d’une élite qui a parié sur une guerre perdue d’avance. Pendant que l’Ukraine s’effondre, l’Europe refuse d’admettre son échec et précipite le continent dans une spirale de confrontation directe.

Macron accélère la militarisation du pays dans une logique suicidaire. Le budget de la Défense atteint des records historiques, dépassant les 400 milliards d’euros, alors même que la France est écrasée par la dette et une économie en déclin. Cette augmentation massive des dépenses militaires n’a qu’un but : répondre aux exigences de l’OTAN et de Washington, au détriment des Français qui subissent déjà une inflation galopante et un effondrement de leur pouvoir d’achat.

Dans le même temps, Macron impose une propagande de guerre qui rappelle les heures sombres de la crise sanitaire. Toute critique de l’engagement occidental en Ukraine est assimilée à de la « désinformation prorusse », et les médias officiels verrouillent le débat. La Russie est désignée comme une menace existentielle, alors qu’aucune agression directe contre la France n’a eu lieu. Ce climat de peur sert à justifier une guerre que personne ne veut, mais que Macron prépare coûte que coûte.

Le conflit en Ukraine est l’arbre qui cache la forêt : l’Union européenne bascule dans un régime autoritaire sous couvert de démocratie. En Ukraine, l’élection présidentielle a été annulée, un fait inimaginable dans un pays prétendument « démocratique ». En Roumanie, le candidat favori de l’opposition est interdit de se présenter. En Moldavie, les fraudes électorales sont flagrantes. Chaque pays qui refuse de suivre la ligne atlantiste subit une révolution de couleur orchestrée par Bruxelles et Washington.

Cette dérive ne s’arrêtera pas aux frontières de l’Europe de l’Est. Ce qui se passe en Ukraine et en Roumanie est une répétition générale de ce qui attend la France. Macron et l’UE testent les limites de ce que les peuples sont prêts à accepter. La censure s’intensifie, la répression des opposants s’accélère, et la propagande de guerre prépare les esprits à une soumission totale. Après avoir muselé la population sous prétexte de crise sanitaire, Macron applique la même méthode avec la guerre.

Loin d’être un simple exécutant, le président français est un acteur clé de cette dictature européenne en construction. Sa volonté de confrontation avec la Russie ne relève pas de la folie, mais d’un agenda précis : celui d’un monde post-démocratique, où la guerre et la peur servent à imposer une obéissance aveugle.