
J’ai apprécié, il y a longtemps, Depardieu dans le « Retour de Martin Guerre » de Daniel Vigne (1982). Je n’ai pas aimé, par après, la vulgarité qu’il exhibait « comme un Saint Sacrement » (Cfr. Georges Brassens in « Trompettes de la renommée »). En Corée du Nord et en off « on » lui a laissé l’opportunité d’afficher cette vulgarité. Ses exhibitions avec Vladimir Poutine m’ont semblées navrantes. Son expertise œnologique et son exil fiscal, « désuets brins de laurier sur lesquels il s’endormis comme un loir " Mais, peut-être, n’y avait-il pas, même là aussi, un élément de séductions perverses et de désillusions opportunistes et/ou monnayables ? La sagesse populaire ne dit-elle pas : « Faire chauffer un marron, cela le fait péter »….et « La femme court plus vite, la jupe relevée que l’homme , pantalon abaissé ». Mais si toutes les victimes de tous les viols doivent être reconnues et justice leur soit rendue …. ne peut-on pas regretter que les intensités des moyens mobilisés pour ces objectifs semblent bien à géométrie variable…. Du Docteur Mukwege, « l’Homme qui répare les femmes », Paul Kagame a pu dire « On lui donne un Prix Nobel, puis on lui fait dire n’importe quoi »…. C’était à propos de milliers de femmes violées des Kivu….Et là, où sont les procès ? Mais il s’agit de négresses et encore bien souvent des Hutus ou des Twas. CQFD ?
Bien à vous.
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