Il ne me semble pas que ce soit de nature à ce point pathologique. C’est un arriviste qui a bénéficié d’appuis financiers et médiatiques influents et de concours de circonstances favorables pour parvenir au pouvoir (impopularité du président sortant, élimination ou discrédit des favoris de droite...).
Il n’a pas la carrure pour le poste, il s’agite dans tous les sens et cherche à se rattraper aux branches en fonction des circonstances.
Ayant échoué sur le plan intérieur, ayant perdu le crédit en Afrique, il se reconcentre sur les questions européennes notamment le soutien inconditionnel à un pays aux confins du continent, devenu préoccupation quasi exclusive des instances de l’UE et OTAN dont ce pays n’est pas membre, mais qui a été aguiché pour s’y affilier. Macron y est plus populaire qu’ici, et devrait peut-être songer à se présenter à la succession du héro national local, et faire don de sa personne à ’Ukraine.