idyllique 2 novembre 2007 21:30

On n’a pas le choix ! Un minimum de Français payent pour la majorité toujours plus d’impôts et de taxes pour un assistanat généralisé et qui enlise des millions de chômeurs, rmistes, merdeuf et autres bénéficiaires des aides sociales et subventions publiques dans la complaisance nationale qui accumule 2 000 milliards de dette. Nos impôts bientôt ne pourront même plus payer les intérêts de la dette ... mais on s’en fiche on continue les mêmes politiques natalistes et sociales tous azimuts ce qui en plus de tous les problèmes économiques et sociaux de ce pays attirent tous les pauvres de la planète ! Ces derniers exigent d’être accueillis, hébergés, soignés et regroupés par famille !

Budget 2008. Pas de réduction du déficit sans réduction des dépenses publiques !

Il fallait oser le dire ! Lors du vote de la première partie du Projet de Loi de Finances pour 2008, le 23 octobre, le ministre du budget, Eric Woerth, a déclaré : « Animés par le souci de l’intérêt général et le sens des responsabilités, nous avons pu modifier ce projet de budget sans porter atteinte à son équilibre. »

Merveille ! Faut-il en conclure que le budget de l’Etat sera enfin à l’équilibre en 2008 ? Evidemment pas. Le projet gouvernemental prévoit au contraire un déficit de 41,7 milliards d’euros, à peine plus faible que celui prévu l’an dernier par la Loi de Finances Initiale pour 2007 (42 milliards). Peu importe : l’optimisme est de rigueur, comme en témoigne encore l’intervention de Gilles Carrez, rapporteur général de la Commission des Finances, qui se réjouit que ce nouveau budget traduise « la volonté de redresser les comptes publics, grâce à la mise en œuvre des règles de bonne conduite budgétaire qui ont fait leurs preuves ces dernières années et permis une diminution sans précédent du déficit de l’Etat. »

Si l’on considère que le déficit s’établissait en 2005 à 45 milliards, nous auront gagné, en admettant que les prévisions pour 2008 ne soient pas dépassées, un peu plus de 3 milliards en trois ans. C’est bien ; mais il n’y a quand même pas de quoi crier cocorico.

Encore faut-il, pour que le déficit soit maintenu à 41,7 milliards, que la croissance soit au rendez-vous. Chaque année, les gouvernements successifs émettent des prévisions de croissance optimistes, qui sont, à quelques rares exceptions près, finalement démenties par la réalité. Ce fut le cas au cours des dernières années, y compris lorsque Nicolas Sarkozy fut ministre des Finances. L’expérience montre que la réduction du déficit public n’est pas liée à ces prévisions de croissance hasardeuses, mais à la volonté politique de réduire drastiquement les dépenses du secteur public. Le gouvernement en est-il suffisamment persuadé ?


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