Emile Red Emile Red 12 novembre 2007 14:23

Pinocchio est un politique élevé à l’ombre Ricard, il ne connait que zinc virtuel et doseur poster de sa chambre adolescente, draps blanchis aux photos de quelconques blondasses, égéries à casquette anisée.

Son mentor est au tribunal, il ne représente plus que lui même et oublie les douceurs de Bastia où le jaune pastis camoufle les hordes policières baignées de fumées kérosène en surconsommation.

Et d’un coup un flibustier qui vient l’apostropher et le réduire, lui le fils de hun, d’adepte de gay pride, sodomite à souhait ou souhait de sodomie qu’il voudrait infliger à ceux qui le portérent sur le destrier élyséen.

Pasqua est mort à l’autel du désaveu, il fait dans l’omission, Neuilly ne vaut pas cette messe, l’herbe y repousse, avec un peu de chance les tribunaux y muteront en parc Bubush avec MacDo Coca et LVMH à tous les étages.

Il y a moins loin du Sárköz au cours St Louis ou le Nico colle son bac de seconde zone, bac B s’entend moins bien que bec à l’Oréal dont il parfume sa furie Aragonaise partie vers d’autre cieux paisibles.

Il doit se dire qu’un nain vaut mieux que deux tu l’auras, et si Buda peste, Paris se morfond, Seine ou scène de désamour quotidien, Attila ne fait plus recette, le déguisement étriqué du descendant singe le mythe Round-up.

Il n’était peu, il n’est plus rien qu’un désastre de poussières hiératiques que les quolibets amenuisent au détour de raouts insipides. Tel un phoenix à bout de souffle il s’éteindra dans l’indifférence de ceux qu’il a biaisé de sa ridicule superbe.

Tartufe s’achemine vers les vapeurs crépusculaires, évanescence subliminale du néant de l’histoire.


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