Même remarque que Sylvain, je créditerais donc M. Badinter et M. Argoul. Mais autant j’adhère à 100% aux propositions, autant la véritable question reste : à qui et comment « déconstruire le discours ambiant et notre représentation spontanée » ? Face à la crainte d’une escalade, fut-elle dans les urnes, l’urgence est là et chaque jour compte.