@ Manu
La police agit dans le cas d’espèce sur ordre de l’autorité d’une juge d’instruction qui a dû lui précider les modalités qu’elle entendait voir appliquer puisqu’elle recourait à la coercition ! On peut imaginer le mot d’ordre : "Rabattez-moi le caquet de ce monsieur !
- T’inquiète, on s’en charge !"
Et ça donne ce lamentable tableau dans une démocratie. Paul Villach