La grande interrogation est plutôt celle-là : Sharon saura-t-il poursuivre un processus de paix malgré les attentats ? Car avec les excités du Hamas il y en aura et le gouvernement palestinien n’a pas le pouvoir de les empêcher, quoique le prétende Sharon.

Même s’il y des gestes significatifs (notamment des libérations de prisonniers) pour adoucir les plus durs, il m’apparaît probable que ça ne suffise pas à calmer les plus extrémistes. Sharon est-il prêt a tempérer sa politique systématique de représailles pour que commence le temps de la désescalade ?

Am.