Si vous ne devez posséder qu’un seul album choisissez « Spirit of eden ». Je dois l’avoir écouté des milliers de fois et comme on l’a dit pour Mozart : le silence après Hollis c’est encore du Hollis.
A l’heure d’hadopi, il est bon de souligner que la maison d’édition EMI n’est pas pour rien dans la disparition de ce groupe. Ces ordures prétendent défendre les artistes, mais quand ils en ont un, ils l’abandonnent au profit de médiocres bien dans le moule, facile à comprendre par la ménagère de moins de 50 ans.