Oui, ce sera très intéressant. Nos historiens constateront que lorsqu’un vieux NEZ (ah ah ah, comme vous Borat, nous sommes finauds - je dis nous car je serais plusieurs, vous lisez si bien les articles de Morice que c’est ainsi que vous les commentez), qu’un vieux NEZ (ouh qu’elle est drôle !) donc, incapable d’écrire correctement le pseudonyme d’une dame, venait aboyer (« wouaf », c’est du langage chien, non ?), et prétentieusement, un autre, courant derrière, exprimait ses regrets les plus vifs, de la façon la plua banale : en projetant la misère de ses fantasmes et de tous ses manques 

Voici tellement longtemps, pauvre Borat, que vous flairez le giron de tout ce que ce pauvre forum compte de barjots et de butors, dès lors que leurs aimables remarques, sur rien fondées, me concernent, moi et quelques amis dont vous jalousez - cela se sait - l’humour et la gaité.

Que d’aigreur chez ces soixantenaires désoeuvrés ! - conclueront nos archéologues. Et nous les aurons précédés.

Car à la vérité, toujours à se plaindre de l’expression d’autrui et particulièrement de celles, des femmes, qui les ignorent, ces deux vieux goujats ne savent plus faire que ça : renifler le commérage et, telles les vieilles garces derrière les rideux de leurs fenêtres, ressasser les derniers potins.

Le Viagra pour les nuls. Demandez donc ça à Noël