Raymond SAMUEL paconform 15 février 2010 09:16

Bonjour SALSABIL,

Je vous cite (à peu près) :

J’ai choisi de ne pas « travailler » pour élever mes enfants
« on » fait (de ce fait) de moi une abrutie. je crois qu’il en serait de même pour un homme choisissant une voie équivalente.

Je me permets de parler de moi :

Je n’ai pas pu choisir d’élever mes quatre premiers enfants (parce que j’étais (je suis toujours) un homme. J’AI VÉCU ÇA COMME LA PIRE DES DISCRIMINATION.
Si j’avais pu le faire, « on » m’aurait fait passer aussi pour un abruti, mais en plus pour un incapable (de faire vivre sa famille).

N.B. Je me suis cependant rattrapé avec mon dernier enfant que j’ai eu après ma retraite et que j’ai pu « materner » à 100 %. Quel bonheur irremplaçable !
Pourtant je suis très mal dans ma parentalité, copieusement insulté, injurié, méprisé, rejeté, annulé... par les féministes (voir les épithètes qu’elles utilisent à l’endroit des hommes/pères et l’absence totale de reconnaissance de leur état de parent, suivies par les institutions et les media, tous plus lâches et injustes les uns que les autres.
Une femme peut affronter les féministes, un homme n’a pas le droit.

Vous avez choisi le respect des besoins de vos enfants, bravo ! mais, comme beaucoup de mères n’avez-vous pas barré plus ou moins au père l’accès aux enfants ?
Dites moi non, j’aurais un peu de baume au cœur.
Merci.


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