Le but de l’article n’est pas de dire qu’il faut continuer nos émissions (il n’y a pas que le CO2 si vous songez aux pollutions du charbon et pétrole), ne serait-ce que pour éviter un choc économique trop violent lors du « peak oil » qui lui est inévitable.
L’humanité est son (unique ?) problème et l’acidification des océans en est une composante. En même temps au rythme où nous les vidons de leur faune et les polluons, l’acidification et ses conséquences théoriques ne sont pas forcément notre soucis principal.
Il faut rire de la folie humaine et soigner la nôtre.